Pâquerette a pris la relève de Colibri et d’Eowin, et a pour mission de donner une âme à la maison.
"Le droit français réprime les brutalités dont peuvent être victimes les animaux domestiques, animaux de compagnie comme animaux d’élevage, ainsi que les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité.
Les sanctions et les peines varient selon l’échelle de gravité et les circonstances dans lesquelles les faits ont été accomplis :
Les actes passibles d’une peine d’emprisonnement sont donc l’exercice de sévices graves ou de nature sexuelle ou les actes de cruauté. Il n’existe pas de définition précise de l’acte de cruauté. Toutefois, l’analyse de la jurisprudence permet de préciser qu’il s’agit d’un acte volontaire et conscient, en vue de faire souffrir sans nécessité un animal ou de provoquer sa mort. Il se caractérise par l’intention de satisfaire le plaisir que procure la vue de la souffrance ou de la mort. Cette qualification est généralement retenue lorsque l’auteur de l’acte a manifesté un instinct pervers et une cruauté proche de la barbarie et du sadisme.
Mauvais traitements ou actes de cruauté, c’est au juge d’apprécier la qualification qui paraît la plus appropriée."
Publié le 04/02/2014 par la Direction de l'administration légale et administrative
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Nos pensées vont à:
Caramel qui n'a pas survécu : voir le billet de Zoé, Zaza et Lulu : ici
Oscar qui a dû être opéré : voir le billet de Nat à chat, Hisia et Loustiquette : ici
Et tous les autres ...
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Bougies pour Caramel : clic
06/02/2014 :
Nul n’est sensé ignorer la loi. Mais la loi codifiée est d’un accès difficile pour les non initiés. Ce texte ci dessus que l’on trouve sur le site officiel de l’administration française est un texte public.
Dans l’intérêt même des animaux, il serait utile qu’il soit largement diffusé, qu’il soit affiché dans les refuges pour animaux, qu’il soit publié dans les sites, forums et blogs animaliers.
Sylvie Mika (commentaire 20) nous rappelle d'autres actions :
Merci pour eux
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Article 521-1 du code pénal :
"Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende."